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AF ep.10 : Entretien avec Orane Gueneau – L’audace de créatrices pour aller au-delà du sexisme.

janvier 10, 2021

Orane Guéneau, la première fois que je l’ai vue c’était dans un bar à Rennes il y a cinq ans.

 

Un bar où j’aimais beaucoup me rendre avant même qu’elle n’en devienne la bistrotière, la gérante : La part des anges.

 

💪 Fédérons-nous !

Le nom me plaisait, le lieu me plaisait et surtout je n’avais pas le choix puisque c’était devenu le QG de mon compagnon lorsque nous habitions Paris et que nous nous rendions sur Rennes pour voir ses enfants !

 

Aujourd’hui j’habite Rennes et ce bar, devenu un lieu LGBTQI+ (comprenez un lieu lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queers, intersexes et plus) est toujours mon QG. Il fait bon y travailler en journée.

 

Comme le dit le guide Le petit futé : « c’est le troquet dans lequel on se sent systématiquement bien.

 

Dans son univers décalé, arty mais non consensuel, son caractère si typique (qui) fait qu’on ne s’en lasse jamais.

 

Antre féministe qui donne la part belle à la communauté LGBTQ, c’est typiquement l’endroit dans lequel les tabous ne passent pas la porte !

 

La bibliothèque et les expositions d’œuvres sur les murs donnent le ton, sans équivoque ! »

 

Mais ce n’est pas pour parler café, thé, alcool et petits gâteaux que nous nous sommes entretenues avec Orane !

Non, en fait nous avons parlé photographie et musique mais surtout création et fédération des femmes artistes à travers l’association féministe la Roz’ven et le label qu’Orane a créé avec d’autres artistes : Black Lilith Records dont vous pourrez entendre quelques extraits dans l’émission.

 

Avec Orane, nous comprenons combien il est important de comprendre qu’à travers « le faire » la résilience de tous les trauma vécues par les unes et les autres existe.

 

 

Le combat continue pour que tout un chacun.e arrive à dépasser ses propres obstacles, à continuer de dépasser des traumatismes lorsqu’il y en a et que ceux-ci ne résument pas à eux-seuls une personne, un.e artiste -quel que soit son genre, mais la construisent, la renforcent.

 

Conclusion : continuez à créer pour faire bouger les lignes ! Allez-y, foncez !

 

 

 Liens et extraits dans cet épisode 

 

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Orane Guéneau, la première fois que je l’ai vue c’était dans un bar à Rennes il y a cinq ans.

 

Un bar où j’aimais beaucoup me rendre avant même qu’elle n’en devienne la bistrotière, la gérante : La part des anges.

 

💪 Fédérons-nous !

Le nom me plaisait, le lieu me plaisait et surtout je n’avais pas le choix puisque c’était devenu le QG de mon compagnon lorsque nous habitions Paris et que nous nous rendions sur Rennes pour voir ses enfants !

 

Aujourd’hui j’habite Rennes et ce bar, devenu un lieu LGBTQI+ (comprenez un lieu lesbiennes, gays, bisexuelles, trans, queers, intersexes et plus) est toujours mon QG. Il fait bon y travailler en journée.

 

Comme le dit le guide Le petit futé : « c’est le troquet dans lequel on se sent systématiquement bien.

 

Dans son univers décalé, arty mais non consensuel, son caractère si typique (qui) fait qu’on ne s’en lasse jamais.

 

Antre féministe qui donne la part belle à la communauté LGBTQ, c’est typiquement l’endroit dans lequel les tabous ne passent pas la porte !

 

La bibliothèque et les expositions d’œuvres sur les murs donnent le ton, sans équivoque ! »

 

Mais ce n’est pas pour parler café, thé, alcool et petits gâteaux que nous nous sommes entretenues avec Orane !

Non, en fait nous avons parlé photographie et musique mais surtout création et fédération des femmes artistes à travers l’association féministe la Roz’ven et le label qu’Orane a créé avec d’autres artistes : Black Lilith Records dont vous pourrez entendre quelques extraits dans l’émission.

 

Avec Orane, nous comprenons combien il est important de comprendre qu’à travers « le faire » la résilience de tous les trauma vécues par les unes et les autres existe.

 

 

Le combat continue pour que tout un chacun.e arrive à dépasser ses propres obstacles, à continuer de dépasser des traumatismes lorsqu’il y en a et que ceux-ci ne résument pas à eux-seuls une personne, un.e artiste -quel que soit son genre, mais la construisent, la renforcent.

 

Conclusion : continuez à créer pour faire bouger les lignes ! Allez-y, foncez !

 

 

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